Près de 40 % des Québécois indiquent avoir déjà cessé un traitement avant la fin de la durée prévue sans en avoir parlé à un professionnel de la santé, révèle un sondage omnibus Léger Marketing mené par l’Ordre. La proportion passe à 47 % chez les 25-34 ans. Or, comme vous savez, la non-persistance occasionne des hospitalisations, des consultations médicales ou la détérioration de l’état de santé, particulièrement dans le cas des maladies chroniques.
Les principales raisons évoquées par les patients pour l’arrêt d’un traitement sont le fait de se sentir mieux (31%), les effets secondaires (28%), le fait de ne pas constater son efficacité (12 %) et le sentiment de ne pas en avoir besoin (11%). Or, comme pharmacien, vous pouvez apporter des solutions pour contrer la plupart de ces problématiques et accompagner le patient si le traitement mérite effectivement d’être revu ou arrêté.
Nous comptons sur vous pour partager la campagne et faire de cette importante semaine un succès!
|